L’hyper-automation consiste en la combinaison de plusieurs logiciels de Machine Learning et des outils d’automatisation. C’est une palette d’outils très riche qui permet de gérer toutes les étapes de l’automatisation elle-même. L’hyper-automation a été développée pour exécuter une grosse charge de travail plus rapidement (gain de temps) et de façon plus efficace. Elle peut être utilisée dans de nombreux domaines et s’appuie sur différents outils, dont les solutions d’automatisation robotique des processus (RPA).
Par ailleurs, un récent rapport de Forrester Research, spécialiste des études de marché sur l’impact des technologies dans le monde des affaires, estime que « 25% des entreprises Fortunes 500 prévoient une automatisation de certaines tâches via l’Intelligence Artificielle ». Ce qui va faciliter l’automatisation de plusieurs tâches, dont le traitement automatique de mails ou documents, la mise en place de chatbots.
Où du moins, c’est ce que croit savoir le cabinet d’études Gartner, et ce, dans les 5 à 10 prochaines années. Par définition, la blockchain est une technologie de stockage et de transmission d’information sans organe de contrôle et sécurisée. Elle est perçue comme l’une des technologies à fort potentiel et qui pourrait être indispensable à l’industrie de demain, où elle garantira la confiance et la transparence, la réduction des coûts et des délais de règlement des transactions, entre autres. D’ailleurs, Facebook a opté pour la technologie de la blockchain pour sa nouvelle cryptomonnaie Libra. Elle arrive en 2020 !
Le concept de l’humain augmenté consiste à utiliser la technologie pour doter l’humain de capacités cognitives (via l’utilisation de nouvelles interfaces hommes-machines) et physiques (en implantant directement la technologie dans le corps) améliorées. Selon Gartner, la combinaison de ces deux types d’augmentation sera assez fréquente au cours de la décennie à venir. Aujourd’hui, des projets de ce genre existent déjà. On pense notamment à la start-up Neuralink qui travaille sur la possibilité d’implanter des électrodes dans le cerveau humain.
Les nouvelles technologies facilitent certes la vie des organisations, mais elles apportent également leur lot de failles en matière de sécurité que les auteurs des attaques informatiques s’empressent toujours d’exploiter. Pour se protéger contre la cybercriminalité, les entreprises misent davantage sur des solutions de sécurité portées par l’intelligence artificielle et l’apprentissage machine. Certains analystes de Capgemini Research Institute, ont même annoncé que pour 70% des décideurs informatiques, seule l’IA leur permettra de faire face efficacement aux cyberattaques à venir.
Les objets autonomes les plus populaires sont les robots, drones, véhicules autonomes ou encore les appliances. Ils exploitent l’intelligence artificielle pour exécuter des tâches qui étaient initialement réservées à l’humain. Ces objets dits « autonomes » sont quelque peu entrés dans les mœurs et seront de plus en plus déployés dans l’espace public, avec l’évolution de la réglementation, selon le cabinet d’études.
Les métiers liés aux nouvelles technologies font partie des plus prometteurs, maintenant et dans les années à venir. Le spectre d’activité est large et accessible après avoir suivi l’une des nombreuses formations dans le domaine de l’informatique.